Il y a bien longtemps à l’Agence matrimoniale du CQMI, que nous avons des femmes francophones, russes ou ukrainiennes qui peuvent s’exprimer en français. Selon les calculs d’Antoine Monnier, directeur et fondateur de l’agence, c’est un total de 10 % de toutes les adhérentes du CQMI qui parlent la langue de Molière. De nombreux hommes, notamment dans les plus âgés, sont dans l’idée première de ne rencontrer que des ukrainiennes ou des russes qui connaissent la langue française. C’est un puissant barrage, et un mur parfois infranchissable que ces hommes érigent alors entre eux et une vie heureuse avec une femme slave. En effet, en se focalisant sur un détail infime, celui des langues pratiquées, ces hommes amoindrissent leurs chances de rencontrer des femmes slaves qui leur correspondraient mieux, qui pourraient faire leur bonheur. L’association entre un homme et une femme, d’un côté un francophone de Suisse, de Belgique, d’Afrique du Nord, du Canada ou de France, de l’autre une Slave de Russie, d’Ukraine, de Biélorussie, du Kazakhstan ou de Moldavie, c’est avant tout sur des points de caractère, des centres d’intérêts, une communauté de points communs, des affinités du cœur, de l’esprit mais aussi bien sûr une attirance physique indéniable. Voilà les choses qui comptent dans une future relation d’un couple mixte franco-slave.

Épouser une femme slave francophone

Cette question se couple souvent avec d’autres, comme celle du choix justement entre une femme russe ou ukrainienne. Pour beaucoup d’hommes occidentaux, les choses sont en effet très tranchées, voire tellement catégorique que dans certains cas, des hommes écartent immédiatement des femmes parce qu’elles sont de Russie, tandis que plus loin d’autres ne veulent pas rencontrer des Ukrainiennes dans l’idée qu’elles sont « des sous-produits » de la Russie. Il y a d’importantes différences entre les femmes russes et ukrainiennes, du moins dans les détails, par le fait de leurs origines, de leurs attaches provinciales, du sang des peuples slaves qui coulent dans leurs veines, de leur région de naissance, des spécificités de l’histoire de leurs familles maternelle et paternelle. Ces différences peuvent aussi se compter par rapport à leurs habitudes, à leurs mœurs, au climat de leur région de naissance ou de celle où elles ont passé la plus grande partie de leur vie. La question du choix d’une femme russe plutôt qu’une femme ukrainienne, est une fausse question qui là encore risque de vous embarquer vers des confusions. La Russie et l’Ukraine c’est un peu comme… la France et la Belgique pour schématiser, deux cousines qui se chambrent, se taquinent, se jalousent et s’aiment tout à la fois !

Parmi les exemples d’hommes qui ont réussi dans leur rencontre d’une femme des pays de l’Est, vous pourrez avantageusement écouter le témoignage d’Hervé, un Auvergnat de la cinquantaine, ayant rencontré par l’Agence CQMI une femme ukrainienne, cadre et directrice du personnel sur des navires de croisière. Homme courageux et simple, ayant un emploi lambda et des revenus plutôt modestes, Hervé aura démontré que l’argent, si l’on se trouve en capacité d’avoir une bonne gestion de son patrimoine, n’est pas un barrage pour rencontrer une femme slave. Il évoque ainsi une histoire d’amour sérieuse mais fusionnelle, avec Tamara, ainsi que leurs projets d’avenir et les petits écueils d’une relation mixte. A l’opposé, venant de la même région, Hervé, également Français mais de la quarantaine, vivant en Russie depuis 10 ans et ayant rencontré son épouse Aliona par un site de rencontre, évoque son aventure d’abord en Ukraine, puis en Russie où il a découvert enfin l’amour de sa vie et vous livre son expérience de manière vivante et dynamique.

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